Mon monde, ma vie...

C’est une journée comme les autres quand je me réveille. Rien ne paraît anormal. La maison est vide, comme à son habitude, comme depuis que mon frère est parti en guerre pour notre nation, celle du Feu. J’ai 13 ans aujourd’hui, je suis jeune et vigoureuse, ma vie, je peux la croquer à pleine dent. La seule chose qui m’en empêche, c’est cette absence, ce vide, mon frère. Je n’ai pas de nouvelle de lui depuis plus d’un mois, j’ai peur, je crains le pire, car la guerre est aujourd’hui finie, on a signé un traité de paix. Mais qui sait si cela va durer ?

Je fais ce que je fais d’habitude ; je mange, je m’habille, mets mes souliers pour sortir. C’est sur le pas de la porte, la main sur la poigné, que j’entends sonner, alors j’ouvre.

Je vois 3 soldats, un avec un vêtement, un autre avec un pot en argent, et un autre avec une épée. L’épée, je la reconnaissais, le vêtement aussi, ça appartenait à mon frère. Le pot en argent ne me disait rien qui vaille, mais je me souviens de ce que mon frère m’avait dit ;

-Si je meurs durant ce combat Keira, ne pleurs pas pour moi, je t’en supplie. Pleurs pour toi, si tu en as besoin, mais ne pleurs pas ma mort.. Qui sait combien de temps va durer cette guerre, je ne tiendrais peut-être pas jusqu’à la fin... donnes moi des nouvelles toutes les semaines, je te répondrais à chaque fois.

C’est ce que j’avais fait, même quand je ne reçus plus de réponses de sa part.

Je prends le vêtement et l’épée, très lourde par ailleurs, c’est pour ça que le soldat vacilla quand je la pris. Mon frère m’avait appris à la porter, j’étais petite, la première fois j’arrivais à peine à la traîner sur le sol, mais je m’étais entraîné dur pendant ces 5 ans, cette épée pour moi était aussi légère qu’une plume.

-Merci.

Je prends ensuite le pot en argent et l’ouvre… Malgré mes craintes et mes angoisses, je ne pleure pas. Ce sont les cendres de mon frère, il avait demandé de pouvoir être libre quand il serait mort, de pouvoir voyager par-dessus monts et océans.

J’irais demain en haut de la falaise grand frère. Ne t’en fais pas, ton rêve se réalisera.. J’espère que tu seras plus heureux là où tu seras que sur Terre…

Je salue les soldats qui repartent et referme la porte. Je déplie soigneusement le linge et découvre dans une poche, un badge indiquant « Lieutenant », avec ensuite la dernière lettre que je lui ai envoyée.

«Cher frère, tu me manques chaque semaine un peu plus. Cela fait maintenant 5 ans que je ne t’ai pas vu, j’espère te revoir bientôt, la maison est vide sans toi, je me sens seule.

Ne t’accroche pas à la vie si elle a un goût amer grand frère, laisse la t’emporter, je ne pleurerais pas pour toi, je pleurerais car j’en ai besoin, ne t’en fait pas pour moi. Ces 5 ans passés, tu dois avoir le cœur déchiré et froid par la guerre, si tu reviens, j’espère te le réchauffer, en espérant tout de même que cette lettre et les précédentes en feront autant. Si tu meurs grand frère, brûles les lettres avec toi, elles te réchaufferons encore plus le cœur, je l’espère au plus profond de moi.»

-Merci de m’avoir écouté grand frère, je t’en suis reconnaissante, même si ça m'attriste un peu...

Je ferme les yeux et les larmes coules doucement sur mes joues, je suis à la fois heureuse et triste, comblée et vidée.

Tout était calme, le vent soufflait paisiblement en haut de la falaise, mes cheveux noirs et bouclés étaient attaché en queue de cheval. Je portais maintenant l'armure de mon frère et son épée, mais, ceci m'appartenait maintenant, il m'avait dit que losrqu'il mourrait chaque chose étant à lui auparavant me revenait de droit. Aujourd'hui c'était ma cape qui virevoltait. Mon épée planté dans le sol, je pleurs doucement. Le soleil couchant illumine mes yeux verts, et je souris.

- Je te promets que je survivrais grand-frère.. je te le promets.

Je me relève et reprends mon chemin vers la nation du Feu. Ma démarche est lente et élancé, j'avance fièrement. Mon frère est mort il y a à peine 2 jours, mais je ne pleurs pas sa mort, car il n'aurait pas aimé, je pleurs parce que j'en avais besoin. Maintenant, je sais qu'il ne vivra pas dans le noir, mais dans la lumière.

Je marche durant 2 jours entier. J'arrive enfin aux portes de la nation du Feu. On crie d'ouvrir les portes, j'entre, et on m'arrête.

- Une pièce d'identité ?

Je montre mon épée. C'était celle de mon frère, un ancien combattant renommé. On me laisse entrer sans problème et je me dirige vers le Palais.

J'aimerais voir notre impératrice, sera-t-elle à la hauteur de mes attentes ?

Je voulais un entrainement sérieux et intensifs, même si je devais m'épuiser.

Je marche tranquillement vers les porte du Palais. Plusieurs gardes essayent de m'arrêter en m'attaquant, mais j'évite de justesse les attaques. Je m'agenouille.

- Puis-je voir notre Impératrice, c'est une demande urgente.

- De quel droit voulez-vous voir notre Impératrice ?

- Aucun, je voudrais connaitre ses capacité et si elle est dans la mesure de m'entrainer.

- C'est une insulte que vous faites là.

- Chacun peut le voir à sa façon...

Je plante mon épée dans le sol, et les gardes m'entourent, je me relève.

- Si un de vous attaque, c'est qu'il est lâche. On n'attaque pas une personne dans l'impossibilité de se défendre.

- Tu pourrais tout aussi bien enlever ton épée du sol...

- Oui, mais je ne le ferais pas, car je veux voir notre Impératrice.. mon frère la servit pendant 5 longues années.. vu ce qu'il m'a raconté, je veux savoir si ses dire sont vrai. Vous n'avez qu'à m'attacher les main dans le dos, et qu'un de vous m'accompagne jusqu'à l'Impératrice avec mon épée.. enfin, si vous êtes dans la possibilité de la porter..

La grande porte s'ouvrit, et je vis l'Impératrice sortir avec le Dirigeant en second.

Je souris, m'agenouille une fois de plus.

- Ravie de vous rencontrer votre majesté..

J'avais du respect pour elle, ça grâce à mon frère car elle l'avait entrainé.

- La seule épée qui a su arrêté une boule de Feu.. celle de Kyoshiro.

- Ce n'est pas l'épée qui l'a arrêté, mais le porteur de cette épée.. je suis sa soeur, Keira. Ne m'en voulez pas pour cette intrusion, je demande votre pardon, ainsi que votre enseignement, si cela n'est pas trop insultant..

J’attendis sa réponse, rien.

-J’y réfléchirais..

Elle se retourna et je me lève, je prends mon épée. Je me retourne et souris.

J’attendrais votre réponse, votre majesté…

Je me dirige vers une auberge où j’y laisse ma cape, n’ayant sur mon qu’un simple vêtement de combat. Je garde mon épée avec moi par contre, si je devais me faire voler, au moins j’aurais mon épée. Elle était maintenant ma partenaire, quoique un peu abîmé. Je me dirige vers l’aubergiste avant de sortir.

-Sauriez-vous où je peux trouver un forgeron ?

-‘ien sur, il est au ‘out de l’allée du ‘arché made’oiselle !

Surprise par cet accent inhabituel, je remercie le vieille homme. En sortant je regarde à droite et à gauche, j’aperçois une affiche au loin, avec une fumée noire qui sort de la cheminé du bâtiment.

-Ça doit être là-bas.

J’avance vers la forge tranquillement et devant, j’entre et toque très fort sur la porte. Le bruit s’arrête et un homme recouvert de suie apparaît.

-Besoin d’aide ma p’tite dame ?

- Oui, j’aimerais que vous solidifiez cette épée.

J’enlève nonchalamment l’épée de mon dos et la dépose sur le comptoir dans un fracas. L’homme est un peu surprit mais je poursuis.

-Elle est fissuré à plusieurs endroit, vous pourriez m’arranger cela ?

Il observe attentivement l’épée et fait un « non » de la tête.

-Je suis désolé ma petite dame, je ne peux pas vous réparer cette épée, elle est dans un sale état.. je peux vous en faire une autre dans le même style.

Je regarde le forgeron avec un air de déception, mais j’accepte son offre.

-Je suis un peu déçu, elle appartenait à mon frère.. mais votre idée me paraît tout aussi bonne. Mais dans ce cas, faites la moi un peu plus fine, et plus légère, comme ça je n’aurais aucune difficulté à la manier.

-Parce que vous réussissez déjà à manier cette épée peut-être ? Elle pèse trois tonnes !

-Je suis au courant merci ! Mais bien entendu que je sais manier cette épée, sinon je ne vous l’aurais pas apporté.. enfin bref.

Il me tend mon épée et me demande d’attendre 3 jours pour que l’épée soit fin prête.

-Merci d’avance !.. vous vous appelez comment ?

-Muzica.. vous ?

-Keira !

Je lui fais un signe de la main et lui souris, puis sors. Je respire à fond cette nouvelle air, ça fait du bien de respirer à nouveau après ces 5 ans de solitude.

Bon, j'ai trouvé un autre moyen de continuer pour le moment..
____________________________________________________

On pouvait voir le sommet de la montagne qui transperçait le ciel de plein gré, et les oiseaux qui volaient à perte de vue, virevoltant dans les airs, battant des ailes inlassablement. Le soleil brillait, illuminait tout ce qui se trouvait sur son passage, les gens riaient, ils étaient heureux, et moi de même. Dans un élan, je me mets à courir le plus vite que je peux, et quand je vois que l’espace est libre, je fais 2-3 acrobaties, et continue ma route en courant. Les gens avaient beau me regarder bizarrement, ou avec étonnement, je m’en fichais, je vivais pleinement.

-Au revoir grand frère…

Je m’arrête, souris vers le ciel, mon frère ne fait maintenant plus partit de ma vie, je dois accomplir la mienne, sans me soucier de ce que les autres pensent.

-Est-ce vraiment une façon de se comporter dans la rue ?

Je me fige de surprise, je n’avais pas remarqué que quelqu’un était près de moi. Je me retourne doucement et souris, c’était le dirigeant en second, Waylander. Je le salue, marque de respect pour une personne en haut de la hiérarchie.

-Ravie de vous rencontrer, je suis désolé pour mon comportement, mais je n’ai pas à me soucier de ce que vous pensez de moi, ou de ce que les autres pensent, je reste ce que je suis, c’est tout ce qui compte.

Je me redresse et voix qu’il a l’air un peu surprit.

-C’est rare qu’une personne de m’appelle pas par mon poste.. vous ne m’avez d’ailleurs pas appelé par mon nom non plus..

-Je sais, c’est fait exprès. Je ne vous nommerais que si vous me dite comment vous voudriez que je vous nomme, c’est votre choix. Surtout que pour le moment, vous m’êtes inconnu, je ne vous ai vu qu’une fois.

-Alors je ne vous suis pas inconnu..

-Si, de parole… mon frère m’a dit qu’on ne connaît la personne qu’en connaissant sa voie, ses habitudes, et sa personne… et je continue à penser ainsi, ce sont des valeur qu’il m’a transmit.

Il avait l’air pensif.

-Mais laissez moi d’abord me présenter, puisque vous n’avez pas l’habitude de ce genre de comportement.

Je le salue une fois de plus et me redresse.

-Je me nomme Keira, je suis né dans les contrés ou très peu de personnes n’ont pas d’aptitudes au combat. Mon frère m’a enseigné la maîtrise de l’arme lorsque j’étais jeune, depuis ces 5 dernières années, je n’ai pas arrêté de m’entraîner pour ensuite rentrer dans la nation du Feu. Quand j’aurais atteint le grade de mon frère, je monterais encore plus haut, pour poursuivre son rêve dans le miens, puisque mon rêve est de transmettre à mon prochain les valeurs que mon frère m’a transmit. Je peux être brusque et violente lorsqu’on blesse une personne chère à mes yeux, mais le reste du temps, je suis calme et profite de la vie dès que l’occasion se présente, c’est à dire, tout le temps. Voilà, je vous présenté ma personne, enfin, ma première facette, puisqu’au fur et à mesure, vous en connaîtrez d’autres..

Il avait l’air intrigué de ma façon de faire.

-Bien jeune fille, seriez-vous prête à suivre un entraînement rude pour arriver au niveau de votre frère ?

Je souris et salut Waylander.

-Ce serait avec le plus grand plaisir du monde…

HORS STORY – Je dédis cette courte histoire aux soldats qui sont morts durant les 2 guerres mondiales, ainsi que tous les blessés, dont mon grand-père qui a été présent dans les premiers rangs des combattants de la 2e Guerre Mondial, et qui y a perdu sa jambe, mais qui est toujours en vie. Ça fait 40 ans maintenant qu’il souffre, il a actuellement 86 ans, et s’accroche toujours à la vie…

De toute évidence, je la fait en contexte avec les 4 Éléments ^^ mais je veux rendre hommage à ces combattants…

___________________________________________________________
J’écris ici les premières lignes d’un journal, la Guerre entre les nations est commencé, nous sommes envoyé au combat comme des pions sur un échiquier. Je suis actuellement au grade de Commandant, plusieurs années sont passées depuis mes premiers jours d’entraînement, j’ai appris très vite, je suis parmi les meilleurs combattants, mais je suis une fille, ce qui est rare de retrouver en si haut rang. J’avais été dur envers moi-même, j’avais choisis de m’entraîner jour et nuit, je ne persistais jamais, même quand on me proposait de prendre du temps libre… je pense que cet acharnement m’a finalement été bénéfique.

- Commandant Keira, nos troupes sont prêtes au combat.

- D’accord…

J’étais en désaccord avec cette idée de guerre, je ne me battais que quand c’était une bonne raison, la, ce n’était que pour un conflit banal, une histoire de territoire…

Je regarde devant moi, tout ce que je vois, ce sont des soldats qui craignent tous la mort, sauf certains, je savais que ceux-ci reviendraient en vie, ou mourraient en héros…

Le vent balaye la grande place, nous avons 20 groupes de 500 soldats, donc en tout, 10 000 soldat. Mais ce ne sont que mes troupes, les 4 autres commandant ont le même nombre de soldats, à nous 5, nous avons 50 000 soldats.

Je monte sur un rocher pour que tous les soldats me voient, je montre mon visage pour que chacun me voie bien. On me donne un haut-parleur, et je débute mon discours.

- Vous êtes 10 000 dans mes troupes…

J’entendais ma propre voix résonner dans toute l’assistance.

- On peut voir que ce n’est pas juste sur cette terre que la guerre commence, nous pouvons voir nos ancêtres se préparer eux aussi !

Je pointe du doigt le ciel, il était gris de nuages épais.

- Je vous parle à vous qui vous êtes entraîner, qui avez pour la plupart, une famille, et qui dans ces troupes avez plus d’un ami ! Vous qui depuis maintenant 6 mois vous êtes préparez à cette guerre imminente, vous qui partez au combat tête baissées, juste parce qu’on vous l’a demandé… Vous servez votre pays, oui ! Mais je vais vous dire en toute sincérité… si par malheur nous perdons, vous aurez servit ce pays pour rien, car la moitié d’entre vous crèverons au combat, ¼ d’entre vous reviendrons indemne corporellement, et l’autre ¼ reviendra avec de graves blessures corporelles et mentales… Je ne dis pas ça pour vous décourager, je dis ça car c’est une réalité !

La pluie commençait à tomber, et moi ma gorge se serrait… je connaissais la plupart des soldats, et je ne voulais pas qu’ils meurent, mais le monde est cruel…

- Eh bien je vais vous demander de crier haut et fort votre vœux le plus cher ! Pas celui de gagner cette guerre, VOTRE vœux ! Allez, criez moi ce vœux, criez le de toute vos forces, alors peut-être que nos ancêtres nous entendrons et nous accorderons la chance de remporter cette guerre sans trop de mort… je vais vous criez mon vœux le plus cher, ensuite, je veux vous entendre vous, soldats… voici mon vœux, JE SOUHAITE QUE CE MONDE VIVE EN PAIX, ET QUE CETTE POURRITURE DE GUERRE DISPARAISSE !!! Vous allez me dire, à quoi bon servent les entraînements si mon vœux se réalise, et bien parce qu’il y aura toujours des conflits, mais je ne veux plus de guerre comme celle-ci entre les Nations… maintenant, criez vos vœux du plus profond de votre cœur, allez, je veux entendre un rugissement de vœux !

Tous crièrent plusieurs fois leur vœux, ça me remontait le moral. J’avais des méthodes assez particulières comme me disaient les autres commandants. Le dirigeant en second, Waylander, était mon Senpai, il venait faire le tour des troupes. Il monta à sont tour sur le podium et je lui donne le haut-parleur.

- Soldats, la Guerre débutera dans la prochaine heure… le Commandant Keira vous a donné, je pense, un source d’espoir… Je dois dire qu’elle a un don pour donner du courage, et qu’actuellement, elle cache sa colère et sa tristesse derrière son envie de combattre...

À SUIVRE
____________________________________________________________________________________
J’aimerais vous montrez tout de même le nombre réel de morts qu’il y a eu durant la 2e Guerre mondiale…

PAYS/PERTES TOTALES (MILITAIRES + CIVILES)

URSS/21 100 000
POLOGNE/5 420 000 (dont 3 millions de Juifs…)
YOUGOSLAVIE/1 500 000
ALLEMAGNE/7 000 000
JAPON/3 000 000
ILTALIE/400 000
FRANCE/600 000
ROYAUME-UNI/388 000
ÉTATS-UNIS/300 000
CHINE/entre 6 millions et 20 millions, les chiffres ne sont pas exacts…

Il finit sont discours et me donna les dernières instructions.

- Vous êtes dans la première vague… faites de votre mieux.

- Je ne ferais pas de mon mieux, on va remporter cette guerre et faire régner la paix sur notre nation.

- Je te reconnais là, tu es une grande combattante, tu es devenu meilleure que ton frère, mais tu ne t’arrêteras pas tant qu’il y aura la guerre, c’est ça ?

- Vous avez tout compris… bon, maintenant, je dois mener mes troupes, allez terminer votre tour.

Je le salua et me dirige vers le podium.

- Tout le monde, le moment est venu !

Je m’avance entre mes troupes, chacun se retourne et je monte sur mon cheval. Chaque commandant avait choisis un blanc.. pourquoi ? Je n’en avait aucune idée, moi, j’avais Arès, un magnifique cheval noir que j’avais reçu d’une amie. Maintenant, j’avançais avec lui et mes troupes vers la Lande de combat.

Le vent balayait la plaine, nos adversaire restaient debout, comme nous, mais on sentait une colère régnant dans leur Chef. Le ciel s’assombrissait de plus en plus, la pluie ne tarderait pas à s’abattre sur nous…

Vragor, notre Shaman, arrivait sur son cheval.

- Prête pour un carnage ?

Je lui souris. Il m’avait aidé à perfectionner certaines techniques avec le Feu, ça pouvait être destructeur.

- Toujours, vous devriez le savoir.

Arès était excité, il avait hâte lui aussi. Son nom lui allait parfaitement, Arès, Dieu de la guerre.

Je me tourne vers mes troupes… la 2e vagues était caché à 100 mètres de la notre, dans la forêt. Ils étaient archers, c’était censé servir d’attaque surprise pour le début.

On pouvait sentir les premières goûtes de pluie, le ciel était maintenant noir, et le sol était d’un vert ténébreux…

Je regarde mes hommes dans les yeux, je fais le tour, pendant une demi-heure, c’est tout ce que je fais. Ce n’est qu’après que je commence à parler, quand les autres troupes sont placés, prête à intervenir à tout moment. Les signaux avaient été mis en place pour ne pas être repéré.

- C’est l’heure ! Tenez vos armes comme jamais ! Ne perdez pas courage, et si par malheur vous tombez à genoux devant l’adversaire, souriez lui, alors peut-être aurez vous le temps de lui porter le coup final…

Je regarde Vragor du coup coin de l’œil… il avait préparé un orage pour désavantagé l’ennemi, la pluie était là à cause de l’orage, dans une heure, le soleil nous permettrais d’avoir plus de puissance. Il me fit signe de la tête, comme pour dire « on peut commencer ».

L’Impératrice resterait au Palais, il nous fallait préserver sa vie pour préserver notre nation.

Nous faisons lever les drapeaux pour signifier à l’ennemi que nous somme prêt, ils commencent tout de suite à attaquer. Ils courent tous, la pluie devient de plus en plus insuportable, Vragor souriait…

- C’est aussi destructeur qu’une bombe atomique ! Tu vas voir !

Soudain, je vis un énorme éclair bleu s’abattre en plein milieu de la vallée… tous les hommes qui étaient partit en premier étaient maintenant poussière. Il me fit signe d’envoyer mes troupes…

- C’est partit Arès, on va guider notre nation à la victoire…

Je commence à galoper avec Arès et fais signe à Vragor d’envoyer le premier signe dans 30 secondes.

J’étais toute seule à galoper, c’était la première tactique, déstabiliser l’ennemi. Notre but premier : faire passer quelqu’un de l’autre côté pour achever le chef, pour qu’il y est le moins de mort possible.

Maintenant… !

Les troupes se mirent à courir vers l’ennemi, puis elles s’arrêtèrent au moment ou je m’arrêtais. L’ennemi était à 10 mètres, je me retourne et cours vers les troupes. Les flèches sont lancés, 5 vagues de flèches enflammées à la suite les unes des autres. Nous avons épargné la vie de nos hommes jusqu’à maintenant, mais pas pour longtemps… c’était le moment tant attendu… mes troupes devaient me permettre de me rendre jusqu’au Chef ennemi et je devrais l’abattre. Après, ce serai fini… s’ils étaient loyaux.

Au départ, je devais faire croire à l’ennemi que j’étais l’Impératrice, comme ça, ils se battraient de toute façon.

Je sortit mon épée, flamboyante jusqu’à aujourd’hui, je l’avait très peu utilisé, je la leva dans les airs et cria de toute mes force.

- CHARGEZ !

Tous mes hommes coururent vers l’ennemi, je galopais avec Arès, tuais quelques hommes au passage. Je devais me rendre le plus vite possible vers le Chef ennemi et l’achever. Un homme essaya de blesser mon cheval, je passa par dessus lui, je l’avait vu se diriger vers moi, j’avais eu le temps de prendre assez d’élan.

Je pouvais voir le Chef ennemi, habillé dans une armure grise pâle, comme un chevalier… c’était pathétique, vouloir protéger son corps entier lors d’une guerre. La seule chose qu’il faut protéger, c’est son cœur, rien d’autre, surtout quand est censé savoir combattre.

- Darkaïn !

C’était le second général de mes troupes, j’avais besoin de son aide pour me rendre jusqu’à leur Chef, et vite.

Il se dirigea vers moi avec son cheval.

- J’ai besoin que tu couvres mes arrières jusqu’à leur Chef, je ne pourrais pas m’y rendre seule, j’ai mal évalué la situation de ce côté là, ils sont beaucoup… ça me fait penser… Envoi le signal à Jonnhy, faut envoyer la 3e vague.

- D’accord Commandant…

Il fit trois tour sur lui même, et fit faire le beau à son cheval. Vragor fit la même chose plus loin et nous pouvions déjà voir la 3e vague sortir de la forêt. La 2e vague s’était placé dans la montagne entre temps et tirait des flèche sur les troupes ennemi qui n’avaient pas été encore envoyés.

génial!!!

faudra que je le lise ^^

DOOUDDIII (voix grave)

on n'écrit pas DANS les RP !! agreuu ya une section fait pour et ça s'appelle : Vos Avis ! -- d'ailleurs faut que je pense à changer le nom de cette section..

Enfin, je te pardonne, mais en tant qu'admin, tu donne le mauvais exemple XD